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CLASSEMENT THEMATIQUE DES TEXTES

Textes principaux en hémovigilance pour les Etablissements de Santé
Mise à jour au 05/08/2012

I - UTILISATION THéRAPEUTIQUE DES PSL

Indications des PSL et HAS 2012 pour les PFC

Liste des PSL

Bonnes pratiques de prescription et de délivance


Dossier transfusionnel


Acte transfusionnel


Auto transfusion, pré et péri-opératoire


Bonnes pratiques de transport des PSL


Information et suivi du receveur, archivage



Refus transfusionnel  -  Synthèse réglementaire



II- DEPOTS dans les établissements de santé



III- HEMOVIGILANCE

Organisation


Traçabilité


Incidents graves de la chaîne transfusionnelle


Effets indésirables receveur




IV- IDENTITO-VIGILANCE


Justification d'identité des patients



V - BIOVIGILANCE


 
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I- UTILISATION THéRAPEUTIQUE DES PSL>

INDICATIONS des PSL

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INDICATIONS DES TRANSFUSIONS DE PRODUITS SANGUINS LABILES (Recommandations pour la pratique clinique) Afssaps 2003

Recommandations de prescription: par type de PSL

BONNES PRATIQUES DE PRESCRIPTION ET DE DISTRIBUTION 

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loi du 04 Mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé

 

HAS Juin 2012 : Délivrance de l'information à la personne sur son état de santé

ANAES Information des patients, recommandations destinées aux médecins (2000) 

L'information et le consentement éclairé du malade


Les recommandations pratiques aux médecins ( très clair et sans équivoque), Notez bien que le patient ne doit pas nécessairement signer de document et que la traçabilité de l'information doit figurer dans le dossier médical.

28 juin 2012, Communiqué de Presse HAS : Mieux répondre à l'obligation d'informer la personne sur son état de santé

Décision (Afssaps) du 6 novembre 2006 définissant les principes de bonnes pratiques prévus à l'article L. 1223-3

Prescription des PSL

Définition des niveaux d'urgence (bonnes pratiques)

Recommandations Afssaps d'utilisation des CGR et PFC (2003)

Texte conjoint EFS SFAR sur les urgences obstéticales (26/09/2000)

Recommandations de prescription  En urgence

Point d'information-Afssaps-PFC-BM-10/10/2011.pdf

Retrait progressif du plasma BM jusqu'à mars 2012

Arrêté du 3 décembre 1991 indications du plasma frais Abrogé par Arrete_du_13_ juillet_2011_abrogeant_arrete_du_3_decembre_1991.pdf

Indications réglementaires des PFC Abrogé

Délivrance des PSL

Fichier des codes des PSL au format CSV -----

 

Liste détaillée des PSL avec leurs codes officiels Afssaps

Arrêté du 12 avril 2011 modifiant l'arrêté du 9 mars 2010 relatif au tarif de cession des produits sanguins labiles

Tarifs de cession des PSL

Lettre circulaire de la DHOS du 29/08/2002

La position de la CNIL  SVT/BB/92 - 7686 du  02/06/92 

Utilisation des télécopieurs

  Dossier transfusionnel  

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Art R1112-2 du CSP ( le contenu du dossier médical)

Circulaire DGS/DHOS/AFSSAPS N° 03/582 du 15 décembre 2003 relative à la réalisation de l'acte transfusionnel

dossier transfusionnel - Recommandations (Taille 2.5 Mo )

groupe de travail (représentants de la DRASS d'Aquitaine avec le CRH, de l'EFSAL, des ES d'Aquitaine et du CCECQA.)

AUTOTRANSFUSION 

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Circulaire DGS/DH/AFS n° 97-57 du 31 janvier 1997 relative à la transfusion autologue en chirurgie.

La transfusion autologue programmée (TAP)

Circulaire DGS/DH/AFS n° 98-722 du 8 décembre 1998  Examens biologiques sur le donneur avant un prélèvement Autologue TAP

Recommandations Afssaps d'utilisation des dispositifs de récupération de sang péri-opératoire du 30/06/2003

RéCUPéRATION DE ANG PéRIOPéRATOIRE (RSPO) SUIVIE DE SON ADMINISTRATION PAR VOIE INTRAVEINEUSE : HAS juillet 2006

La Transfusion Autologue Peri Opératoire :

Etude de la Haute Autorité de Santé sur larécupération de sang péri opératoire

  

ACTE TRANSFUSIONNEL


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Article R4311-9 du Code de la Santé Publique

Compétence des IDE par délégation du médecin

CIRCULAIRE DGS/DHOS/AFSSAPS N° 03/ 582 du 15 décembre 2003 relative à la réalisation de l'acte transfusionnel.

Sécurité de l'acte transfusionnel

Outils spécifiques:

1) Check list pour la réalisation d'un acte transfusionnel (version pdf )
version Excel modifiable

2) Logiciel d'autoevaluation de la sécurité de l'acte transfusionnel

Evaluation des cartes de contrôle ultime par l'Afssaps

Cartes de CULM

Outils spécifiques:

1) Logiciel de contrôle qualité de l'utilisation des cartes de CULM

2) Diaporama des cartes CULM de marque Diagast

Arrêté du 10 octobre 2007 fixant les conditions relatives à l'entreposage des produits sanguins labiles dans les services des établissements de santé

Entreposage de PSL dans les services des établissements de santé

 

BONNES PRATIQUES DE TRANSPORTDES PSL

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Arrêté du 24 avril 2002

Détails techniques : Conditions de conservation des CGR

Décret no2007-786 du 10 mai 2007 relatif aux véhiculesd'intérêt général et modifiant le code de laroute (Facilités accordées aux véhicules detransport de PSL)

Réglementation des transports de Produits Sanguins

Documents complémentaires :

Arrêté du 10 octobre 2007 fixant les conditions relatives à l'entreposage des produits sanguins labiles dans les services des établissements de santé

Entreposage de PSL dans les services des établissements de santé

 

INFORMATION ET SUIVI DU PATIENT, particularités de la transfusion

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CSP Article L1111-2

loi du 04 Mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé

 

HAS Juin 2012 : Délivrance de l'information à la personne sur son état de santé

Obligation d'informer les patients

Documents spécifiques sur le consentement éclairé:

Recommandations de l'ANAESdestinées aux médecin (2000)

Article R1112-5



Obligation d'informer tout patient transfusé par écrit des transfusions de PSL

administrées au cours de son séjour hospitalier. 

(un document écrit et signé, mentionnant la nature, la quantité, la date et le lieu de la transfusion doit être remis à tout patient ayant reçu une transfusion de PSL).


Décret no 2002-637 du 29 avril 2002  

Arrêté du 5 mars 2004 : bonnes pratiques relatives à l'accès aux informations concernant la santé d'une personne,

Accès des patients aux informations personnelles

détenues par les professionnels et les établissements de santé (texte de portée générale)

Circulaire DGS/DHOS 2006/11 du 11 Janvier 2006

Tests de dépistage pré et post transfusionnels

1) Suppression des tests de dépistage virologiques pré et post-transfusionnels chez les receveurs de PSL (sérologies VIH, hépatite C, dosage ALAT) ;

2) La RAI post transfusionnelle entre un et trois mois est intégrée aux bonnes pratiques

Circulaire n° 98-231 du 9 avril 1998

Les obligations des médecins sur l'information pré et post transfusionnelle :

lls sont tenus de délivrer à leur patient une information pré et post transfusionnelle. L'information a priori porte sur les risques avérés ou théoriques liés aux PSL et sur les différentes mesures de rappel effectuées sur ces produits, (document écrit à remettre au patient).  

Instruction interministérielle DHOS/E1/DAF/DPACI n°> 2007-322 du 14 août 2007 relative à la conservation du dossier médical

Conservation et archivage des dossiers médicaux

20 ans en règle générale après le dernier passage (pas avant l'�ge de 28 ans si malade était alors mineur, 10 ans après le décès). voir exceptions dans l'instruction....
30 ans pour ce qui concerne la transfusion

 

DEPOTS dans les établissements de santé

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L. 1221-10 (Ordonnance du 01/09/05)

Art. R. 1221-19   (définition d'un dépôt)

decret du 7 septembre 2007 relatif aux dépôts de sang


Réglementation générale:

définition, régime d'autorisation, qualifications du personnel

Documents spécifiques :

Tableau de synthèse des réglementations 2007

Organisation d'un dépôt hospitalier de PSL (diaporama synthétique)

Liste des procédures pour lesquelles le silence gardé par l’administration sur une demande vaut accord (page 17)

Arrêté du 30 octobre 2007 conditions d'autorisations des dépôts de sang

Arrêté du 30 octobre 2007 fixant le modèle type de convention entre un établissement de santé et l'établissement de transfusion sanguine référent pour l'établissement d'un dépôt de sang

Conditions d'autorisation

Document spécifique :

Document de synthèse sur l'autorisation des dépôts de PSL

L.1223-3 CSP

Décision du 6 novembre 2006 du DG de l'Afssaps définissant les principes de bonnes pratiques

extraits de l'Annexe à la décision :

Bonnes pratiques applicables aux dépôts de PSL (semblables à celles des ETS)

Bonnes pratiques de délivrance

Système d'information des dépôts

Arrêté du 30 octobre 2007 fixant la liste des matériels des dépôts de sang prévue à l'article R.1221-20-4

matériels

Art R 1223-23 (qualifications des personnels)

Arrêté du 3 décembre 2007 relatif aux qualifications de certains personnels des dépôts de sang

Arrêté du 16 décembre 2008 portant homologation du cahier des charges de la formation des personnels des dépôts de sang.

Arrêté du 15 juillet 2009 modifiant l'arrêté du 3 décembre 2007 relatif aux qualifications de certains personnels des dépôts de sang

Personnels habilités

Qualifications requises

Formation spécifique du personnel des dépôts

Arrêté du 10 octobre 2007 fixant les conditions relatives à l'entreposage des produits sanguins labiles dans les services des établissements de santé

 Entreposage de PSL dans les services des établissements de santé

HEMOVIGILANCE

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ORGANISATION

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Article L1221-13 du CSP

Art. R. 1221-22. du CSP

Définition de l'hémovigilance 

Elément de la sécurité transfusionnelle, � L'hémovigilance a pour objet l'ensemble des procédures de surveillance et d'évaluation des incidents, ainsi que des effets indésirables survenant chez les donneurs ou les receveurs de produits sanguins labiles. Elle porte sur l'ensemble de la chaîne transfusionnelle allant de la collecte des produits sanguins labiles jusqu'au suivi des receveurs. L'hémovigilance comprend également le suivi épidémiologique des donneurs. �

R. 1221-18

Règles d'hémovigilance 

Obligation pour chaque ES de choisir un ETS unique pour son approvisionnement en PSL

R. 1221-44.

Le comité de sécurité transfusionnelle et d'hémovigilance (CSTH) (ou sous commission de la CME compétente pour l'hémovigilance et la sécurité transfusionnelle)

Obligatoire pour les ES 

Réunions au moins 3 fois par an ;

Comptes rendus et rapport annuel.

Document spécifique :

Aide à la constitution de la sous-commission d'Hémovigilance et de sécurité transfusionnelle ou CSTH.

Art. R. 1221-43. (décret du  01/02/2006)

Arrêté du 10 mai 1995 relatif aux conditions de désignation d'un pharmacien aux fonctions de correspondant d'hémovigilance d'un établissement de santé pris en application de l'article R. 666-12-14 du code de la santé publique

Circulaire :

DGS/DH/AFS n° 97/107 du 7 novembre 1997 relative à la fonction de correspondant d'hémovigilance de l'établissement de santé    

Le correspondant d'hémovigilance dans les ES 

Nomination obligatoire dans tous les ES;

Il reçoit les déclarations des EIR et incidents, participe à leur investigation les déclare au correspondant d'hémovigilance de l'EFS, au Coordonnateur Régional d'hémovigilance et à l'Afssaps, signale les évenements susceptibles de mettre en jeu la sécurité transfusionnelle. Il s'assure du recueil et de la conservation des informations nécessaires à la notamment de formation, de conception  de procédures ou de protocoles transfusionnels.

Son nom est porté à la connaissance du Coordonnateur Régional d'Hé mvigilance et de l'ETS

Décret no 2010-1408 du 12 novembre 2010 relatif à la lutte contre les événements indésirables associés aux soins dans les établissements de santé

CIRCULAIRE N°DHOS/E2/E4/2004/176 du 29 mars 2004 relative aux recommandations pour la mise en place d'un programme de gestion des risques dans les établissements de santé

Gestion des risques dans les ES

TRACABILITE

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CSP article R 1221-40

Décision du 6 novembre 2006 définissant les principes de bonnes pratiques prévus à l'article L. 1223-3

Traçabilité

fiches de Délivrance (ex distribution nominative),

Conservation des informations dans l'ES et à l'EFS .

Décision du 6 novembre 2006 définissant les principes de bonnes pratiques prévus à l'article L. 1223-3

Circulaire DGS/DH n° 97-816 du 24 décembre 1997 

et directive technique n° 2 BIS de l'AFS   

Structuration des messages électroniques de traçabilité (document aux implémenteurs)

L'informatisation de la traçabilité des PSL dans les ES et les ETS 

Normes AFNOR S 97 -530, 531, 532 et 536 fixant le contenu et le format des messages.

Incidents de la Receveur (EIR)

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CSP Article R1221-49

La déclaration des incidents transfusionnels et Effets indésirables receveur

Accès à la page dédiée

Documents complémentaires :

  1. Fiche d'effet indésirable receveur
  2. Fiche d'incident grave de la chaîne
  3. Télédéclaration en direct sur e-fit

Circulaire DH/DGS/3B n° 47 du 15 janvier 1992

Circulaire DGS/DH n° 96-499 du 6 août 1996

Enquêtes transfusionnelles

Suivi de l'information et enquêtes transfusionnelles.

Conduite à tenir en cas de découverte d'une séroconversion chez un receveur de PSL et suite à donner aux demandes d'enquêtes des ETS sur les receveurs de PSL présentant un risque viral.


IDENTITOVIGILANCE

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Article L162-21 du Code de la Sécurité Sociale

Justification d'identité

Il peut être demandé au malade d'attester de son identité par un document officiel comportant une photographieauprès de l'administration de l'ES


BIOVIGILANCE

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Décret n° 2003-1206 du 12 décembre 2003 portant organisation de la biovigilance

correspondant local de biovigilance

TRACABILITE

Déclaration des INCIDENTS

 

 
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Refus transfusionnel

Conduite à tenir en milieu hospitalier

Synthèse du cadre légal et réglementaire français au 01.01.2018

Dr Pierre FRESSY, Coordonnateur régional d'Hémovigilance et de sécurité transfusionnelle, ARS d'Auvergne-Rhône-Alpes.
Le cadre légal et réglementaire français repose en 2017 sur les textes suivants :
Au plan légal : Article L. 1111-4 du Code de santé publique (CSP) :
Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu'il lui fournit, les décisions concernant sa santé.
Toute personne a le droit de refuser ou de ne pas recevoir un traitement. Le suivi du malade reste cependant assuré par le médecin, notamment son accompagnement palliatif.
Le médecin a l'obligation de respecter la volonté de la personne après l'avoir informée des conséquences de ses choix et de leur gravité. Si, par sa volonté de refuser ou d'interrompre tout traitement, la personne met sa vie en danger, elle doit réitérer sa décision dans un délai raisonnable. Elle peut faire appel à un autre membre du corps médical. L'ensemble de la procédure est inscrite dans le dossier médical du patient. Le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins palliatifs mentionnés à l'article L. 1110-10.
Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.
Lorsque la personne est hors d'état d'exprimer sa volonté, aucune intervention ou investigation ne peut être réalisée, sauf urgence ou impossibilité, sans que la personne de confiance prévue à l'article L. 1111-6, ou la famille, ou à défaut, un de ses proches ait été consulté.
Lorsque la personne est hors d'état d'exprimer sa volonté, la limitation ou l'arrêt de traitement susceptible d'entraîner son décès ne peut être réalisé sans avoir respecté la procédure collégiale mentionnée à l'article L. 1110-5-1 et les directives anticipées ou, à défaut, sans que la personne de confiance prévue à l'article L. 1111-6 ou, à défaut la famille ou les proches, aient été consultés. La décision motivée de limitation ou d'arrêt de traitement est inscrite dans le dossier médical.
Le consentement du mineur ou du majeur sous tutelle doit être systématiquement recherché s'il est apte à exprimer sa volonté et à participer à la décision. Dans le cas où le refus d'un traitement par la personne titulaire de l'autorité parentale ou par le tuteur risque d'entraîner des conséquences graves pour la santé du mineur ou du majeur sous tutelle, le médecin délivre les soins indispensables.

Au plan réglementaire : Article R4127-36

Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas.
Lorsque le malade, en état d'exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences.
Si le malade est hors d'état d'exprimer sa volonté, le médecin ne peut intervenir sans que la personne de confiance, à défaut, la famille ou un de ses proches ait été prévenu et informé, sauf urgence ou impossibilité.
La conduite à tenir en cas de patient mineur ou incapable est décrite à l'article R4127-42.
On retrouve le même type obligation dans le Code de déontologie médicale, à l’article 36.

Au plan juridique (source MACSF)
Le Conseil d’Etat, dans un arrêté du 26 octobre 2001, a estimé que le médecin pouvait valablement passer outre le refus du patient d’être transfusé, et de manière plus générale, de recevoir des soins contre sa volonté, si quatre conditions cumulatives étaient remplies. Il faut ainsi que :
Postérieurement à l’entrée en vigueur de la loi du 4 mars 2002, dite loi Kouchner, dans une décision de référé du 16 août 2002, le Conseil d’Etat a fait injonction à un établissement hospitalier de ne pas procéder à une transfusion sanguine sur une patiente, mais a aussitôt précisé que cette injonction cesserait de s’appliquer si la patiente venait à se trouver dans une situation extrême mettant en jeu le pronostic vital.
La Cour administrative d’appel de Nantes, dans un arrêt du 20 avril 2006, a refusé d’octroyer un préjudice moral à une patiente, témoin de Jéhovah, qui avait été transfusée malgré son opposition, car il était démontré que les transfusions étaient « indispensables à sa survie ».
Il appartient donc à chaque établissement de santé d’établir une procédure médico-juridique permettant la mise en œuvre de ce cadre légal et réglementaire.
La loi prévoit que « L'ensemble de la procédure est inscrite dans le dossier médical du patient. » mais il n’existe pas de document support « type » national.

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Conférence Nationale des Coordonnateurs Régionaux d'Hémovigilance

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